Wouah. Ça y est (déjà). C'est la fin de ce merveilleux voyage. Debout dès 6h15, nous nous mettrons bientôt en route vers l'aéroport de Bruxelles.

Nous sommes arrivés à Bruxelles le 19 au soir, alors après un long (mais impeccable) voyage en train. Nous avons visité notre quartier (encore turc, comme à Nuremberg) et avons mangé dans un petit resto turc. Le coca chaud de mon père restera dans les anales longtemps. Le lendemain, cap vers la Grand-Place en taxi (c'est près, donc ça revient pas mal au même qu'en métro, avec 3 billets à acheter). Le chauffeur nous demande 10 euros. Une fois là-bas, nous nous promenons, flânons, magasinons. Un orage nous guette toute la journée, mais on s'en tire bien (on sera sérieusement arrosés qu'au moment de repartir, en route vers notre taxi). On goûte aux frites belges (miam), puis aux gaufres belges (énorme miam, rien de comparable au Québec), on croise 3000 chocolateries (il y a autant de chocolateries à Bruxelles que de comptoirs à gelattos en Italie) et on admire la Grand- Place. L'une des plus belles de notre parcours. (Retour à la maison en taxi : 8 euros).

Le 21, fête de la Belgique, jour férié donc, maman et moi partons vers notre dernière destination : Bruges. Un coup de coeur automatique pour cette ville médiévale (une autre) qu'on surnomme la Venise du Nord. Il nous faudra y revenir...

Finalement, hier, après le musée MOOF (pour papa), (taxi : 7,10 euros) je pars de mon côté visiter le musée Magritte (très intéressant!) et magasiner un peu, pendant que de leur côté, les parents sont en route vers les gros autobus rouges pour un tour de ville. Leur dernière journée vaudra un article à elle seule (du moins je vous le souhaite). Après un dernier resto (grec celui-là) et un dernier arrêt dans une chocolaterie (pour nous cette fois), on annonce notre destination au chauffeur de taxi. 15 euros qu'il nous dit. Maman riposte que nous avons fait le même parcours pour 7 ou 8 euros. En bas de 10, il ne se déplace pas. On prendra l'autobus, amers.

Mais on t'en veut pas, Bruxelles. On a croisé plusieurs personnes antipathiques, mais aussi de nombreuses personnes très gentilles. Tu bats Paris, là-dessus, même si on a eu droit à 1 ou 2 leçons de français. Les Belges aussi (avec leur charmant accent) croient avoir la vérité absolue en terme de langue française.